En 1997 , une organisation appelée le COSEPAC a été formé pour étudier le risque pour les espèces sauvages canadiennes . Ils utilisent " la meilleure scientifiques, communautaires et les connaissances autochtones pour évaluer le risque d'extinction ", selon un communiqué publié sur le site internet du groupe . Le COSEPAC est conforme rapports d'étape détaillés sur chacune des espèces , qui sont à la disposition du public sur son site Internet .
Mise en œuvre de la Loi sur les espèces en péril
Les trois autorités canadiennes responsables de la mise en œuvre de la LEP sont Environnement Canada , l'Agence Parcs Canada et Pêches et Océans Canada . Les lois semblent solides , mais l'organisation à but non lucratif Nature Canada prévient que " les principales faiblesses dans la mise en œuvre de la Loi ont laissé de nombreuses espèces végétales et animales en péril la poursuite de l'extinction. "
Pourquoi une usine Devenir espèces «à risque »?
Menaces pour la vie de l'usine canadienne comprennent la perte de l'habitat par le développement humain , l'empiètement des espèces envahissantes , l'exploitation forestière , l'exploitation minière , de l'agriculture et de la pollution .
Comment aider les espèces en péril
Le gouvernement du Canada aide la biodiversité végétale de protection en légiférant des lois verts , la création de parcs et des réserves , et les organismes de financement qui évaluent les espèces en péril . Particuliers canadiens peuvent aider à se renseigner sur les menaces à la biodiversité , dons à des organismes de conservation à but non lucratif qui font du lobbying pour la conservation , l'appui aux entreprises locales qui font des efforts pour protéger l'environnement et faire des choix de mode de vie «vert» .